1. L’observation et analyse du terrain est importante

Vous devez prendre le temps de bien observer le site où votre potager va être implanté. Vérifiez :

– Si le terrain est bien exposé au soleil : comment allez-vous orienter le potager ?
– Le microclimat, notamment les endroits les plus humides, ceux les plus secs, les lieux les plus exposés au vent.
– Les ressources à votre disposition : votre budget, le temps que vous pouvez consacrer aux soins du jardin, votre matériel, l’espace, etc.
– Les éléments naturels qui s’y trouvent : les arbres, les sources d’eau, etc.

2. La conception d’un plan selon les principes de la permaculture

Selon les principes de la permaculture, le plan de votre potager doit :
– Favoriser la diversité des cultures.
– Intégrer divers éléments comme des haies, des buttes de cultures, des points d’eau, etc.

Bien évidemment, n’oubliez pas d’opter pour des modèles inspirés de la nature afin de maximiser l’efficacité et la résilience du potager.

3. La préparation du sol

Vous devez améliorer de manière naturelle la fertilité du sol. Pour ce faire, servez-vous des pratiques de permaculture suivantes :
– Le paillage,
– La plantation de couvertures végétales,
– L’apport de compost naturel.

Surtout, évitez les engrais chimiques ainsi que les pesticides qui ne favorisent pas la santé du sol et la biodiversité.

4. La plantation de végétaux complémentaires

Si vous souhaitez imiter la nature, vous devez choisir des plantes compagnes qui stimuleront la croissance de vos cultures et éloigneront les parasites. Il y a tellement d’associations bénéfiques que vous pouvez expérimenter pour créer un écosystème harmonieux :
– Le maïs, les haricots grimpants et les courges,
– La tomate, les poireaux et les oignons,
– Le radis et la carotte,
– Les fraises et l’ail,
– Etc.

5. L’intégration des éléments permanents

Les légumes et les plantes dans votre potager peuvent changer d’une saison à une autre. Raison pour laquelle vous devez y placer des éléments permanents, comme :

– Des arbres fruitiers,
– Des haies,
– Des étangs.

Ceux-ci participent à la diversité et à la stabilité de l’écosystème.

Vous pouvez aussi créer une zone de repos au sein de cet espace vert. Vous pouvez vous y détendre et observer les insectes. Détectez lesquels sont bénéfiques pour vos cultures.

6. La gestion des ressources

Vous arriverez à gérer avec soin vos ressources en recyclant les déchets organiques dans un système de compostage. Vous pouvez par exemple rassembler les feuilles mortes et les tontes d’herbes de votre jardin. Ils serviront de compost riche en azote et adapté à certaines cultures (pois, haricots, laitues, pomme de terre…).

Vous devez également utiliser l’eau de manière efficace. Pourquoi ne pas mettre en place des systèmes d’irrigation respectueux de l’environnement ?

7. Observation, ajustement et évolution

Si vous voulez réussir votre projet de permaculture, vous devez constamment observer votre jardin potager. Analysez les changements des cultures en été, en hiver, en automne et au printemps. Que faut-il revoir pour faciliter leur développement ou augmenter le rendement ?

Vous pouvez vous renseigner auprès de Jardin Permaculture si vous avez des questions sur les ajustements à réaliser. Cela vous permettra également d’en apprendre davantage sur le processus de jardinage en permaculture.

Les algues Sargasses, quelles sont leurs vertus ?

Les algues Sargasses sont utilisées par les Chinois depuis longtemps et nous héritons de cette médecine traditionnelle. Elles sont bénéfiques en cas de fièvre, de bronchite, d’œdème, d’infection, de laryngite etc. On peut aussi s’en servir en guise de cataplasme pour les plaies. Elles atténuent les symptômes de la silicose si on les associe à la châtaigne.

En cas d’inflammation due aux hernies testiculaires, elles apportent un soulagement durable. Les algues Sargasses sont surtout recommandées en traitement des troubles de la thyroïde. Que ce soit de la thyroïdite chronique ou aiguë ou encore s’il y augmentation de la glande thyroïde, ça marche. Si vous souffrez de rétention d’eau, les algues Sargasses sont un remède qui vous soulagera. Sachez que les polysaccharides dans ces algues aident à garder une bonne tension artérielle. Elles permettent aussi de maintenir une glycémie saine.

Indications et contre-indications des algues Sargasses

Les algues Sargasses sont excellentes pour le cuir chevelu, pour le métabolisme, sur le système digestif, nerveux, osseux et circulatoire. Elles sont disponibles sous forme de poudre et de gélules. En général, il faut diluer une dose de 10 g de poudre dans un demi-litre d’eau chaude. Buvez cette tasse matin, midi et soir bien avant les repas. Si vous êtes allergique à l’iode ou en cas d’hyperthyroïdie, évitez les algues Sargasses.

Notez que celles-ci sont comestibles, à ajouter à un plat de légumes, en assaisonnement, dans une soupe etc. Pour information, cette année, il est prévu un échouage des algues Sargasses sur le littoral de la Guadeloupe. Les plages de la Côte Est de l’île, de Grande-Terre et de Basse-Terre qui sont notamment les plus touchées. Ces algues représentent une gêne importante pour les habitants et pour les professionnels du tourisme.

Les différents types de biodiversité

En effet, il existe plusieurs types de biodiversité. Tout d’abord, il y a la biodiversité génétique. Cette dernière est l’ensemble des gènes qui existent au sein du monde vivant. Tous êtres vivants possèdent différentes expressions de gène voilà pourquoi, il existe de multiples phénotypes, caractères physiques et de formes de vies. Puis, il y a la biodiversité intraspécifique, c’est en réalité la variété génétique des populations et des individus de la même espèce. Par exemple, il existe des êtres humains à cheveux blonds ou bruns, des yeux bleus ou noir, etc. Ensuite, il y a la biodiversité interspécifique, qui désigne la diversité des êtres vivants entre elles par leur nature, leur nombre ou encore leur importance relative. Et enfin, il y a la biodiversité écosystémique qui est l’ensemble des écosystèmes que l’on retrouve dans le monde ou encore dans une zone géographique bien déterminée et de toutes les espèces qui s’y trouvent.

Pourquoi la biodiversité est-elle importante ?

La perte de la biodiversité peut avoir de graves conséquences sur notre monde, voilà pourquoi il est important de la conserver. Depuis 1980, la préservation de la biodiversité est l’une des principales préoccupations croissantes. L’homme est en effet le principal responsable de la disparition de la biodiversité à cause de ses diverses activités (économique, industrielle, urbaine, etc.) et fait disparaître d’innombrables êtres vivants partout dans le monde. La disparition progressive de la biodiversité représente en fait une terrible menace pour l’humanité. Par exemple, la disparition des agents pollinisateurs comme les abeilles, les papillons ou encore les oiseaux peut rendre de nombreuses productions agricoles assez compliquées voir même impossibles. Voilà pourquoi, la disparition de la biodiversité peut provoquer un trouble de l’écosystème et le rendre vulnérable.

Les règles pour la production végétale

L’optimisation de la fertilité et de l’activité biologique du sol sont les bases de ces règlements. L’usage des produits chimiques et de synthèse est strictement interdit. Une phase de conversion doit être respectée par les agriculteurs une culture considérée comme biologique. Cette phase dure deux ans avant le semis pour les cultures annuelles, et trois années pour les cultures durables.
Concernant la fertilisation, il est interdit d’utiliser de l’azote minéral. Les fertilisants ne doivent contenir que des engrais verts. Les effluents biologiques sont autorisés, par contre les effluents animaux ne doivent pas excéder une concentration supérieure à 170 kg par hectare.
L’utilisation d’organismes génétiquement modifiés (OGM) est prohibée, et la protection des cultures est focalisée sur les auxiliaires de culture naturels. Quant au désherbage, elle doit se faire mécaniquement, ou par voie thermique.

Les règles pour la production animal

Pour la production animale, les règles sont basées sur le respect du bien-être des animaux, et le respect du sol. Les animaux doivent naître et être élevés dans les conditions d’une agriculture biologique.
Pour le bien-être des animaux, leur habitation doit être adaptée à l’élevage. Il doit être bien aéré et bien éclairé par la lumière naturelle. Il doit aussi offrir des abris contre les intempéries, et un accès au plein air.
Pour l’alimentation, il est défendu d’utiliser des hormones de croissance, et les aliments basés sur des OGM.
Afin d’éviter l’utilisation des soins médicaux, il est essentiel de prévenir les maladies. Cette prévention se traduit par des conditions d’élevage hygiéniques et une alimentation saine. Il est permis d’utiliser des traitements antiparasitaires, mais la prise d’antibiotiques ne peut se faire qu’une à trois fois par an. Et cela seulement dans le but de soigner les animaux. Dans ces cas, la commercialisation des produits doit se faire dans un délai légal de 48 heures après la prise du médicament.

L’intérêt de manger bio

Il est clair que les produits bio sont excellents pour la santé. Les aliments bio sont sans produits chimiques nocifs. Les fruits et légumes bio ont largement meilleur goût que les produits conventionnels. Par exemple, les viandes bio sont riches en fibres et moins grasses. Les producteurs bio privilégient les qualités nutritionnelles des produits. Les consommateurs estiment que les aliments biologiques ont beaucoup plus de fraîcheur. Les produits bio réduisent les risques d’allergie. Ces adeptes sont moins susceptibles d’être en surpoids. Les aliments cultivés de façon conventionnelle ont moins de valeur nutritive. L’agriculture biologique utilise moins d’antibiotiques sur les animaux. On trouve aussi peu de résidus de pesticides sur les aliments biologiques. Tous ces éléments contribuent à la popularité des produits bio.

L’inconvénient majeur des aliments bio

Il est évident que le désavantage principal des aliments bio est leur prix exorbitant. Il coûte plus cher que les produits conventionnels. Mais certaines grandes surfaces vendent des produits bio abordables. Ce mode d’alimentation séduit de plus en plus d’adeptes. Beaucoup de gens veulent vivre de façon saine. Les fermes conventionnelles sont un peu mises de côté. Les consommateurs s’éloignent des aliments conventionnels. Ils sont pleins de pesticides, d’engrais à base de pétrole ou les hormones de croissance. Les aliments bio sont cultivés de manière à garder tous les nutriments dans le produit. Pourtant, on a du mal à trouver des produits bio authentiques. Seuls les magasins spécialisés disposent en permanence d’aliments biologiques. Du coup, même si quelqu’un veut manger sainement, il a un peu de mal à trouver des produits bio à bas prix. Les aliments bio ne sont pas à la portée de tout le monde.

Les différents types de bioplastiques

On peut distinguer deux types de bioplastiques : biosourcés et biodégradables. Il faut savoir que le plastique biosourcé est fabriqué avec 30 % de végétaux ou de déchets végétaux. Ces derniers peuvent s’agir de la canne à sucre, des betteraves, du maïs, du blé ou encore de la pomme de terre. En outre, la biomasse que l’on utilise pour la création de plastique biosourcé est souvent tirée d’une culture spécifique. Avec les résidus organiques (déchets de bois, des déchets alimentaires et des parties de légumes non consommées), on peut aussi arriver aux mêmes résultats. Pour le plastique biodégradable, ceci se décompose souvent en oxygène, en carbone et en hydrogène. Il existe des réglementations sur le carbone afin d’éviter la pollution de l’environnement durant la biodégradation. Dans ces bioplastiques, il peut y avoir des additifs tels que des retardateurs de flammes, des agents de protections contre les UV ou encore des colorants. Toutefois, la conception de ces types de plastiques suit une norme, notamment la norme européenne (transformation du bioplastique en humus à 90 % au bout de 6 mois).

Les caractéristiques de ses constituants

Dans le bioplastique, il y a un composé de pétrole en faible quantité ainsi que des matières premières renouvelables. Parmi les matières de base pour la fabrication de ces plastiques, on peut citer les acides gras polyhydroxydés, l’acide polylactique, la cellulose (matière première issue des déchets végétaux et d’extraits de bois), l’amidon qui provient des pommes de terre, du blé, du maïs et du tapioca.

Une solution biodégradable

Le bioplastique est un matériau principalement conçu à partir du blé, mais on peut aussi en trouver à base de maïs ou de pomme de terre. Ce matériau est considéré comme bioplastique si au moins 40% de sa composition provient de matière végétale. Le bioplastique est ainsi biodégradable. Il se décompose en quelques semaines sans impacter la nappe aquifère et autres réserves en eau. Qui plus est, il est conçu avec des matières premières renouvelables. Le bioplastique ne nuit ainsi pas à l’environnement.

Un niveau de biodégradabilité conditionné par des normes

Il faut noter que le bioplastique doit suivre des normes très strictes. En plus du taux de matière végétale qui doit être de 40 % au moins, il est aussi nécessaire que le produit respecte la norme EN 13432 – 2000. Il est aussi important qu’on retrouve la certification OK compost sur l’étiquette du produit. Cette certification signifie que le matériau est biodégradable à 90 % et cela, sur une période de 6 mois tout au plus. En d’autres termes, on peut parfaitement composter le bioplastique.

Le bioplastique, pour quel usage ?

On peut parfaitement utiliser le bioplastique comme sac dans les supermarchés ou pour les étalages des marchés. Il est également pratique comme sac poubelle, sac pour les légumes et les fruits, etc. On peut aussi l’utiliser comme emballage alimentaire, gobelets, couverts jetables et dégradables, emballage pour des produits cosmétiques, etc. Comme vous pouvez le voir sur https://www.seabird.fr, ce formulateur et producteur de bioplastiques compostables dans le Morbihan (56) propose du bioplastique pour créer du textile non tissé, des filets de pêche compostables pour la pêche à la sole, des coupelles de captage de naissains d’huître compostables, etc.

La ruche

Vous ne pouvez pas devenir apiculteur sans avoir au moins une ruche. Elle fait partie du matériel d’apiculteur de base. Elle doit être de bonne qualité afin de permettre aux abeilles de s’y développer plus facilement. Pour un élevage intensif, une ruche de production est nécessaire tandis que pour un élevage de faible envergure, une ruche simple suffira. La ruche doit être munie d’un toit, d’un plateau avec ouverture et de cadres. Une ruche avec une structure simple peut coûter dans les 70 €.
Une fois que vous avez votre ruche, vous aurez besoin de la peupler d’abeilles. Pour cela, vous avez deux options : vous pouvez capturer un essaim dans la nature ou en acheter. La deuxième option vous permet de connaître la race et l’âge des abeilles que vous allez exploiter. Mais vous devrez attendre un certain temps avant de pouvoir récolter du miel. Si vous achetez une ruche déjà peuplée, vous n’aurez pas à attendre longtemps avant de pouvoir passer à la récolte. Il faut toutefois, bien traiter la reine pour qu’elle s’y plaise et que ses ouvrières la suivent.

Le matériel d’apiculteur pour exploiter les ruches

Si les abeilles produisent le miel, c’est parce qu’elles en ont besoin. Pour cette raison, vous devez toujours vous assurer de leur laisser suffisamment de réserve. Par ailleurs, pendant l’hiver, afin de compléter leur alimentation, vous devez leur offrir des substituts de miel. 2,5 kg de ce substitut coûtent environ 10 €. Pour extraire le miel, vous aurez besoin d’un extracteur à miel. En plus d’extraire le miel dans les alvéoles, cet outil permet également de le filtrer. Un lève-cadre peut également vous être utile pendant la récolte. C’est un outil qui permet de décoller les cadres des ruches lorsqu’ils sont collés avec la propolis. Ensuite, pour conserver le miel que vous avez récolté, vous avez besoin d’un maturateur. Il s’agit d’une cuve hermétique qui empêche le miel de se dégrader pendant qu’il est stocké. Lorsqu’il est muni d’un robinet, le maturateur permet de récupérer plus facilement le miel lorsqu’il devra passer à la prochaine étape de la production.

Matériel de protection et enfumoir

Pour ne pas être piqué par les abeilles pendant la récolte de miel, vous avez besoin de porter une protection. La combinaison de protection enveloppe intégralement votre corps et ne laisse aucun espace ouvert. Elle est complétée par des gants épais pour protéger vos mains et par un chapeau muni d’un voile pour protéger votre visage. Ce matériel coûte environ 80 €. Même avec une protection, il est possible d’avoir recours à un enfumoir. Cet outil permet de produire de la fumée servant à calmer les abeilles pendant que vous effectuez la récolte. Il ne doit normalement pas être toxique afin de préserver les abeilles ainsi que la qualité du miel que vous récoltez. Vous devez par conséquent faire attention au type d’enfumoir que vous achetez. Sachez que le prix de cet outil avoisine les 30 €.

Vérifiez la qualité de votre matelas

Les troubles du sommeil peuvent avoir plusieurs origines. Ce peut être un stress trop important ou de l’anxiété. Ce peut être aussi une trop grande charge de travail ou de nouvelles responsabilités. Le fait d’avoir votre premier enfant ou un malade chez vous peut aussi perturber vos nuits. Des problèmes d’ordre financier peuvent également interférer sur la qualité de votre sommeil. Selon l’INPES, l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé, ce serait un tiers de nos concitoyens qui manqueraient de sommeil. Un autre aspect qui affecte souvent la qualité du sommeil des Français est souvent oublié : une mauvaise literie. C’est peut-être ce qui vous arrive également. Pourquoi ne pas prendre le temps et la peine de vous pencher sérieusement sur la question ? Tâtez votre matelas. Est-il trop mou et ne soutient pas suffisamment votre corps pour l’aider à se détendre ? Ou au contraire, est-il trop dur ou trop ferme ? Ce manque de douceur ne contribue pas au sommeil ? Peut-être aussi qu’il est tout simplement trop vieux et qu’il a fait son temps. Dans ce cas, il suffit de le remplacer, mais faites le bon choix. Un matelas tout neuf ne garantit pas un bon sommeil. Il est important qu’il ait les bonnes caractéristiques. Les matelas naturels ont de plus en plus la cote aujourd’hui et ils ont beaucoup d’avantages. Avant d’acheter le matelas qui vous semble le moins cher, analysez les bienfaits que vous apportera un matelas naturel.

Quels sont vos besoins en matelas ?

Si vous faites des recherches en ligne, vous verrez que les offres en matelas en latex naturel pullulent. Pratiquement tous les fabricants ont compris que les matelas naturels sont ce que veut la population, surtout ceux qui sont soucieux de respecter l’environnement. Que devez-vous savoir sur ces matelas en latex naturel ?

Avant de répondre à cette question, il convient de rappeler que vous devez changer votre matelas tous les 10 ans. Si vous n’en avez pas les moyens, vous pouvez toujours vous en servir, évidemment, mais ne vous attendez plus à ce qu’il vous offre la même fermeté, les mêmes performances. Après 10 ans, votre matelas perd environ 30 % de ses propriétés d’origine. Donc, la qualité de votre sommeil n’est plus garantie. Vous risquez d’accumuler les réveils avec un mal de dos. D’ailleurs, les imperfections de votre matelas deviendront visibles : bosses par-ci, bords affaissés par-là.

Sur le marché, vous trouverez 3 types de technologies de matelas. Le premier est celui en mousse, le second en ressorts et le troisième en latex. Les trois ont tous des avantages, mais en termes de confort et de fermeté, le latex est le meilleur. Des preuves démontrent que les matelas en latex ne se déforment pas vite. Ils donnent plus de satisfaction au dormeur. Notez tout de même que pour la plupart des matelas dits naturels en latex, la composition principale est le latex synthétique, mais non le latex naturel.

Matelas en latex naturel

Les produits en latex naturel, tels que les matelas et les oreillers, coûtent moins cher en énergie et sont moins polluants, ce qui le rend très intéressant. En optant pour un matelas en latex naturel, vous faites le choix le plus écologique qui soit. Certes, vous le faites pour votre confort et votre bien-être, mais c’est aussi un geste en faveur de l’environnement. De toute manière, les avantages des matelas en latex naturel sont nombreux : les matelas sont exceptionnellement souples et sont plus denses, ce qui veut dire qu’ils ne se déforment pas vite. Les matelas soutiennent mieux votre colonne vertébrale en s’adaptant à votre morphologie. De plus, ils sont extrêmement résistants, car même après 10 ans d’utilisation, ils ne perdent que 5 % de leur élasticité. En d’autres termes, vous pouvez garder votre matelas jusqu’à 12 ans, ce qui n’est pas le cas des matelas en latex synthétique. Le matelas en latex naturel ne retient ni l’humidité ni la chaleur étant donné qu’il est très aéré. Donc, vous pouvez l’utiliser en toute sérénité été comme hiver. Pour couronner le tout, le matelas en latex naturel possède des propriétés antiacariennes et antibactériennes.

Comment savoir si vous avez vraiment affaire avec un matelas en latex naturel ? Sur l’étiquette, vous verrez l’inscription « Latex 100 % naturel » alors que sur un matelas en latex synthétique, il y aura juste écrit « Latex 100 % ». Donc, ne vous faites pas avoir, vérifiez bien avant d’acheter.

Faites le bon choix

Pour bien choisir votre matelas naturel, il faut que vous en connaissiez toutes les propriétés et tous les avantages. Il est également important que vous sachiez comment l’entretenir pour préserver sa qualité le plus longtemps possible. Donc, pour rappel, l’appellation « matelas en latex 100 % naturel » ne veut pas dire qu’il contient forcément 100 % de latex naturel. Cependant, la loi prévoit qu’avec une telle appellation, un matelas en latex naturel doit contenir au moins 85 % de latex naturel. Le reste, c’est-à-dire les 15 %, sont en latex synthétique en général. Un matelas composé entièrement de latex naturel, c’est bien sûr la meilleure qualité, sa longévité est garantie, mais surtout, votre sommeil s’en trouvera grandement amélioré. Votre dos ne vous fera plus souffrir, car le matelas va épouser naturellement la forme de votre corps pour mieux le soutenir. Aussi, si vous en avez les moyens et si c’est ce que vous recherchez vraiment, choisissez un matelas en latex 100 % naturel et d’une densité de 56 kg/ mm³ minimum. Ce sera encore mieux si vous pouviez vous procurer un matelas issu de plantations certifiées GOLS pour Global Organic Latex Standard. Ces produits sont garantis latex bio et éthique, autrement dit, de la meilleure qualité possible. Mais même avec 85 % de latex naturel, c’est déjà très bien, et cela vous coûtera probablement moins cher.

Définition et principe de la bio climatisation

La bio climatisation également appelée rafraîchisseur d’air, utilise l’évaporation d’eau pour refroidir l’air dans un espace donné que ce soit un logement en entier, une pièce de la maison, un bureau ou autres. Le principe est simple de la bio climatisation est simple. L’appareil utilisé est doté d’un ventilateur absorbant l’air chaud pour l’humidifier dans un filtre avant de le réinjecter dans la pièce à rafraîchir. C’est un système de refroidissement entièrement naturel et respectueux de l’environnement. Cette climatisation ne requiert aucun recours à des gaz frigorigènes, lesquels rendent les appareils classiques nocifs et destructeurs de l’équilibre écologique. La bio climatisation fait référence à des appareils électriques mobiles qui consomment très peu d’électricité. De ce fit, avec un tel équipement, il n’y a pas de possibilité de saturation en humidité puisque la reconduction d’air est permanente.

Les avantages d’une bio climatisation

En termes d’efficacité, un rafraichisseur d’air évaporatif est meilleur qu’un climatiseur traditionnel. La performance d’un appareil se juge par le rapport entre la puissance produite et l’énergie consommée. Et comme la bio climatisation consomme très peu d’énergie, sa capacité de rafraîchissement est très élevée. En outre, le dispositif a le privilège d’être pratique puisqu’il n’a besoin d’aucune installation particulière pour fonctionner correctement. Il suffit de le brancher à une prise domestique et le tour est joué. Il est même transportable d’une pièce à l’autre. On peut également noter que grâce à l’évaporation d’eau, un bio climatiseur n’assèche pas l’air ambiant pour un maximum de confort dans les habitations comme dans les bureaux. Dans le même élan, il fait moins de bruit qu’un système de climatisation classique et provoque de ce fait, moins de pollution sonore dans l’environnement où il est installé. En pour finir, en plus de respecter les normes environnementales, la bio climatisation est particulièrement abordable en matière de coût.