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<\/p>\nLa situation environnementale est inqui\u00e9tante. La consultation des statistiques et celle des conclusions de diverses \u00e9tudes scientifiques sont inutiles pour s’en convaincre. On ressent, on constate et on voit que les conditions environnementales sur la Plan\u00e8te sont en train de se d\u00e9t\u00e9riorer. La lutte pour r\u00e9parer les dommages subis par la Nature et pour la restaurer est en marche. Les artisans y participent.<\/p>\n
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Aujourd’hui, la puissance et la violence des cataclysmes naturels entra\u00eenent des dommages mat\u00e9riels colossaux et font de nombreuses victimes. Leurs bilans font froid dans le dos. Chaque ann\u00e9e, on fait d\u00e9sormais face \u00e0 des \u00e9pisodes de s\u00e9cheresses et d’\u00e9pisodes caniculaires. L’hiver, c’est le vortex polaire qui prend le relais. Dans ces conditions, tout le monde est \u00e0 pied d’\u0153uvre pour tenter de pr\u00e9server ce qu’il reste de l’environnement. Car seule la Nature est capable de freiner ce ph\u00e9nom\u00e8ne, voire de l’inverser. Les artisans contribuent \u00e0 cet effort \u00e9cologique, \u00e0 ce travail acharn\u00e9 de pr\u00e9servation de l’environnement. Le cas de Brucelec, Electricien \u00e0 Bordeaux<\/a> m\u00e9rite d’\u00eatre mis en lumi\u00e8re. Qui dit \u00e9lectricit\u00e9, dit consommation d’\u00e9nergie : on pourrait affirmer que l’activit\u00e9 d’artisan \u00e9lectricien n’est pas ce qu’il y a de plus \u00e9cologique. On a tort de penser ainsi. Cette \u00e9quipe d’\u00e9lectriciens \u00e0 Bordeaux ne m\u00e9nage pas ses efforts lorsqu’il s’agit de r\u00e9duire son empreinte carbone. Ses initiatives en faveur de la pr\u00e9servation de l’environnement se v\u00e9rifient, par exemple, dans la mani\u00e8re dont elle g\u00e8re ses d\u00e9chets sur les chantiers. Elle a d’ailleurs adh\u00e9r\u00e9 \u00e0 la charte Artisan Engag\u00e9 D\u00e9chet. Cet \u00e9lectricien a \u00e9galement adopt\u00e9 la mobilit\u00e9 douce. Concr\u00e8tement, les collaborateurs de l’entreprise se d\u00e9placent en v\u00e9lo cargo lorsqu’ils sont en intervention. Cela fait partie de ce que l’on appelle les pratiques \u00e9coresponsables. Les initiatives en faveur de la pr\u00e9servation de l’environnement co\u00fbtent cher, car elles supposent g\u00e9n\u00e9ralement des investissements initiaux. De plus, elles peuvent r\u00e9duire les b\u00e9n\u00e9fices de l’entreprise. Qu’\u00e0 cela ne tienne, la protection de la Plan\u00e8te passe avant tous les autres objectifs.<\/p>\n Par essence, un artisan ne peut qu’avoir une faible empreinte carbone. Il poss\u00e8de une entreprise \u00e0 taille humaine (deux ou trois employ\u00e9s au plus). Il n’utilise pas de grosses machines ni d’\u00e9normes robots dans son atelier ni durant ses interventions. Son fonctionnement n’a rien \u00e0 voir avec celui des grandes entreprises industrielles, souvent pollueuses. Sa d\u00e9marche est loin des exc\u00e8s que ce soit pour son portefeuille clients ou ses objectifs de b\u00e9n\u00e9fice et de rentabilit\u00e9. On est dans le domaine du raisonnable. Sans compter qu’un artisan, par d\u00e9finition, fait du travail de qualit\u00e9. Ses r\u00e9alisations sont donc solides : on n’a pas besoin de faire souvent appel \u00e0 lui pour r\u00e9parer ou remplacer quelque chose. De plus en plus, les artisans privil\u00e9gient les mat\u00e9riaux durables, dont beaucoup sont issus d’un processus de recyclage<\/a>. Certains artisans pr\u00e9f\u00e8rent se servir d’un mat\u00e9riel fabriqu\u00e9 dans la r\u00e9gion o\u00f9 ils exercent leurs activit\u00e9s ou dans une entreprise en France. Ce mat\u00e9riel peut m\u00eame \u00eatre \u00e9cologique en favorisant, par exemple, les \u00e9conomies d’\u00e9nergie. On parle d’outillage \u00e9co\u00e9nerg\u00e9tique.<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":" La situation environnementale est inqui\u00e9tante. La consultation des statistiques et celle des conclusions de diverses \u00e9tudes scientifiques sont inutiles pour s’en convaincre. 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